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Parcours Patrimonial : Histoire d’Ambleteuse

Par JF Blarel

 

Ambleteuse, située sur un promontoire dominant l’estuaire de la Slack, est une localité dont l’histoire est très ancienne. Les sources historiques sont toutefois peu nombreuses, car tous les documents ont été détruits pendant les guerres. Les historiens se divisent sur l’origine du nom de la commune et ne connaissent pas précisément la date de fondation du village.

Antiquité

Ambleteuse est un des sites qui revendiquent être, à l’époque gallo-romaine, le Portus Itius d’où Jules César partit à deux reprises (en -55 et -56) pour faire campagne outre-Manche contre les Bretons. La Slack formait un estuaire orienté en sens opposé à ceux (Nord Ouest – Sud Est) de la Liane et de la Canche.

Le musée de Boulogne-sur-Mer possède de nombreuses monnaies romaines de bronze trouvées à Ambleteuse ; la plupart datent d’une période comprise entre l’an 250 et 300 de notre ère. Ce musée expose aussi une statuette du dieu Mars, de l’époque gallo-romaine. Le British Museum conserve, lui, une belle aiguière à la provenance incertaine trouvée dans la mer au large d’Ambleteuse, dite « Vase d’Ambleteuse », et dont une copie est gardée au Fort Vauban.

Moyen-Age

Ambleteuse (Amfleat) est citée pour la première fois par un historien anglais, Bède, vers 700, à propos du naufrage du bateau transportant Saint Pierre, premier abbé de Cantorbéry, dont le corps avait échoué sur la plage d’Ambleteuse en 608.

Ce qui nous est connu, c’est la date de la charte de privilèges que le comte de Boulogne, Renaud de Dammartin, a accordée à la commune d’Ambleteuse en 1209 (ce comte avait accordé un document similaire à Boulogne en 1203). Par cette charte, Ambleteuse acquérait le titre de ville du Boulonnais, comme Boulogne, Etaples, Desvres et Wissant, avec son administration communale propre (un mayeur et des échevins), ses franchises et ses privilèges ; elle avait droit à un marché hebdomadaire et ses habitants étaient libres, en échange du paiement de redevances aux comtes de Boulogne.

La Renaissance

L’histoire connue d’Ambleteuse commence réellement avec la reprise de la guerre entre Henri VIII, roi d’Angleterre, et François Ier en 1542. La garnison anglaise de Calais ravageait la région jusqu’à Boulogne, massacrant par exemple les habitants d’Audinghen. Lorsque les troupes anglaises mettent le siège devant Boulogne, la cavalerie s’installe à Slack, au bord des pâturages, en 1544. Pour protéger le camp de Slack et l’estuaire qui servait de port, les Anglais font du village d’Ambleteuse une place forte. Une citadelle de cinq côtés (ou boulevards) reliés par cinq tours était entourée de fossés profonds remplis d’eau. Des remparts de terre entouraient la partie basse d’Ambleteuse entre la citadelle et le front de mer. Deux ouvrages complétaient le dispositif : un fort carré en pierres, appelé le Château, fut bâti vers l’entrée du port ; doté d’une plateforme avec des pièces d’artillerie, il protégeait le bord de mer. Un fort carré dont les murs de briques étaient flanqués aux angles de quatre tours, appelé le « Fort Rouge », fut élevé sur la colline dominant la Slack, à l’emplacement actuel du Belvédère, afin de surveiller toute la vallée de la Slack jusqu’à Marquise.

Le roi de France Henri II mit le siège devant le fort de la Slack le 24 août 1549. Vingt-cinq pièces d’artillerie battirent le fort pendant deux heures, pendant lesquelles les Anglais abandonnèrent la basse ville pour se réfugier dans la citadelle, ne laissant que quelques hommes et l’artillerie dans le Château, qui fut pris en fin de journée. Le lendemain, 25 août, les troupes françaises aménagèrent une brèche dans la muraille d’Ambleteuse et prirent la citadelle ; la garnison anglaise put se replier sur Calais. Henri II se dirigea ensuite vers Boulogne.

La prise d’Ambleteuse fut considérée comme une grande victoire française : dans le triomphe qui fut organisé à l’entrée de Henri II à Rouen, en octobre 1550, des soldats portèrent une maquette des deux forts d’Ambleteuse repris à l’ennemi.

A la suite d’une tentative des Anglais de reprendre Ambleteuse en 1552, Henri II ordonna en 1554 le démantèlement des fortifications. Le duc de Guise prit Guînes, puis Calais en janvier 1558. C’en était fini de la présence anglaise sur le continent.

Ambleteuse recouvra ses privilèges, qui furent confirmés par Henri II par lettres patentes de mars 1550.

XVIIe et XVIIIe siècles

Vauban voulait organiser la défense des côtes du Nord de la France contre les Provinces Unies. Au cours du voyage qui le menait dans les Flandres nouvellement conquises, Louis XIV vint à Ambleteuse le 20 juillet 1680 visiter l’estuaire de la Slack, accompagné de son fils et du marquis de Seignelay, ministre de la Marine. Il se fit expliquer le projet de port que Vauban avait à cet endroit et, après s’être rendu à Wissant, décida de faire d’Ambleteuse un grand port militaire.

Le fort d’Ambleteuse fut bâti au bord de l’eau sur un rocher affleurant. La tour de pierre semi-circulaire comprenait trois batteries : la batterie du bas possédait 14 pièces ; celle du 1e étage avait trois embrasures ; la dernière, placée sur la plate-forme supérieure, comprenait 4 à 6 pièces de canon.

Une demeure en grosses pierres grises du pays (l’Ingénerie) fut bâtie pour les ingénieurs sur un des bastions de la citadelle anglaise.

Plusieurs inconvénients empêchèrent la réalisation de l’ambitieux projet de Vauban : l’exposition aux vents de la baie Saint Jean, les courants défavorables, l’ensablement du port, enfin la déclaration de guerre entre la France et la Ligue d’Augsbourg (1688) entrainèrent l’abandon du projet. Seuls furent construits le fort et l’ingénerie, deux écluses et les jetées du port.

Le roi Jacques II d’Angleterre, fuyant la Glorieuse révolution, débarqua dans le havre abandonné d’Ambleteuse le soir du 4 janvier 1689. Il passa la nuit chez le commandant de la place avant de prendre le lendemain la route de Boulogne, puis de Saint-Germain-en-Laye. Le roi déchu offrit à l’église d’Ambleteuse un ostensoir d’argent, portant ses armes et sa devise.

Un nouveau projet de port fut établi, sans aboutir, à la suite d’une visite à Ambleteuse de Louis XV (1734). En 1759 les pierres de la jetée furent enlevées pour bâtir le fort de Croÿ à Wimereux. En 1762, le port ruiné passa de l’administration du département de la Guerre à celui des finances. Le fort d’Ambleteuse fut régulièrement entretenu jusqu’en 1779, l’ingénerie resta inoccupée (elle fut vendue comme bien national en 1799).

L’Empire

Bonaparte, chargé par le Directoire d’étudier la possibilité d’une invasion de l’Angleterre, visita la côte en 1798, avant l’expédition en Egypte, et passa de Boulogne à Ambleteuse et à Calais. En 1801, il prépara un projet de débarquement en Angleterre et décida d’organiser la flotte à Boulogne. Un port fut creusé à Ambleteuse en 1803 : un bassin, des jetées, des quais furent créés, une digue construite en front de mer ; le cours de la Slack fut redressé en aval de l’écluse de Slack. Bonaparte visita Ambleteuse le 12 juillet 1803. En septembre 1803, la Grande Armée prit ses quartiers dans la région de Boulogne ; Ambleteuse se trouva comprise dans le Camp de droite, formé par le 4e corps d’armée sous les ordres du maréchal Soult. Le général Legrand, commandant la 3e division, s’installa à l’Ingénerie, qui abrita à partir d’août 1805 le maréchal Davout. Celui-ci y reçut Hortense de Beauharnais, future reine de Hollande, le 24 août 1805. De nombreux baraquements furent édifiés où se trouve à présent le quartier Saint Michel : 26 000 hommes devaient en effet prendre la mer à Ambleteuse. Napoléon fit de nombreuses visites à Ambleteuse ; il écrivit le 16 novembre 1803 à Cambacérès : « J’ai vu des hauteurs d’Ambleteuse les côtes d’Angleterre… C’est un fossé qui sera franchi quand on aura l’audace de le tenter ».

Le projet de débarquement en Angleterre fut abandonné par l’Empereur à la suite de la retraite de Cadix et de la formation d’une troisième coalition contre la France : les troupes quittèrent Ambleteuse du 28 août au 1er septembre 1805 pour la campagne d’Autriche.

Peu de souvenirs restent de cette époque : au sud du fort, on peut toujours voir, derrière les fondations de la digue de 1683, les restes des estacades en pieux de chêne construites sous Napoléon. La Grande rue d’Ambleteuse s’appelait rue Impériale et la rue de l’église (actuelle rue du presbytère) rue d’Austerlitz.

En 1854, Ambleteuse servit à nouveau de camp à l’armée, au moment de la guerre de Crimée. Napoléon III avait en effet décidé de former une partie de son armée sur les côtes de la Manche. Ambleteuse formait avec le camp de Wimereux le 2e corps d’armée. La route de Boulogne à Ambleteuse par Wimereux fut construite à cette époque, ainsi que le quartier Saint-Michel. L’hôtel Delpierre fut agrandi d’une aile sur la rue Delpierre. Les succès des troupes franco-britanniques en Orient rendirent toutefois inutiles les camps des bords de Manche, qui furent supprimés en juillet 1856.

La période balnéaire : les villas

Ambleteuse redevint après 1856 un modeste village de pêcheurs et de cultivateurs. Elle changea de visage avec la mode des bains de mer, à partir des années 1870, et surtout après 1900, quand des Douaisiens et Cambrésiens décidèrent d’y créer une station balnéaire. Ils fondèrent une société qui acheta la partie du terrain communal bordant la mer et construisirent une digue le long de laquelle s’édifièrent des villas.

L’Ingénerie, après avoir été utilisée par plusieurs propriétaires boulonnais comme entrepôt, fut achetée en 1873 par la famille de la Barre de Nanteuil qui en fit sa demeure de vacances. C’est à cette époque qu’est construite la « tour gothique ». La demeure fut acquise en 1928 par Charles Sander, blanchisseur de toile à Haubourdin. La villa Sylvie fait partie du même ensemble occupant un bastion de l’ancienne citadelle anglaise.

La villa Saint Pierre devient la propriété de la famille anglaise Redfern vers 1880 ; elle reste dans cette famille et devient la résidence de Madame Hunt, puis de son fils Stanley.

L’architecte Louis Bonnier dessine les plans des « 4 Chalets » construits en 1891-1892 près du Fort (et détruits par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale). Il construit également en 1894 près de l’écluse une villa pour le compositeur belge Georges Flé (actuellement villa Robinson) et sa maison de gardien (villa Le Figuier).

L’architecte Paul Destombes, dont l’agence était située à la villa La Huchette, construisit plusieurs villas à Ambleteuse, comme Gay Cottage (1906), Les Flots ou Rayon Vert (1904). La villa Mektoub, dessinée par son fils (1926), est une réminiscence du séjour au Maroc de celui-ci.

Maris Stella (1912) est la seule réalisation de l’architecte parisien Gaston Dezermaux ayant survécu aux destructions de la seconde guerre mondiale.

Le Bon Gite fut construite au début du 20e siècle pour Louis Meignié, maire d’Ambleteuse (1931), sur des plans de l’architecte Louis Cordonnier.

La Garenne fut la propriété de M. Bourgeois puis celle de la famille Bernard. La villa fut réquisitionnée pendant l’Occupation pour y abriter un hôpital provisoire pour la population d’Ambleteuse (victime des bombardements). Elle fut donnée à l’association L’Arche.

La digue

Plusieurs projets de construction d’une digue sont envisagés en 1897, puis en 1899 par la société L’Epargne foncière. L’architecte Léonce Hainez en établit les plans et la réalisation du perré est prise en charge par l’entrepreneur Carré en 1901. Les travaux sont achevés en septembre 1903. Les balustres de fer sont commandés à la Société Merveille de Lille.

La première guerre mondiale provoque des dégâts considérables à la digue. Au printemps 1937, le perré s’effondre dans sa partie nord. La commune et la société d’aménagement se disputent la responsabilité des travaux de restauration. Les dégâts causés par la seconde guerre mondiale furent importants ; une mine dérivante explosa en 1941 à l’extrémité nord de la digue.

En 1962, un pan entier du perré s’est affaissé. L’ouvrage fut à nouveau partiellement détruit durant les tempêtes de janvier 1999 puis de janvier 2018.

Les églises d’Ambleteuse

L’ancienne église d’Ambleteuse, placée sous le vocable de Saint Michel, se situait dans l’actuel enclos du cimetière. C’était une modeste église campagnarde à campenard, comme on en rencontre encore dans la région, à Isques, Echinghen ou Bellebrune.  Les ouvertures pratiquées dans le mur-pignon abritaient deux cloches ; la plus grosse, datant de 1827, nommée Agathe, se trouve toujours dans le clocher de l’actuelle église.

A la fin du 19e siècle, l’église était si vétuste que le conseil municipal envisagea à partir de 1870 l’édification d’une nouvelle église. Commencés en 1881, les travaux s’achevèrent en 1884 ; le 21 septembre, eut lieu la bénédiction solennelle du nouvel édifice, de style néo-gothique, par le doyen de Boulogne. La vénérable église à campenard fut détruite en 1888.

Le coq du clocher de l’église fut posé en 1979 ; il est le quatrième depuis la construction de l’église en 1884. Une seconde cloche fut placée en 1924.

La chapelle Saint Pierre, consacrée à Saint Pierre, premier abbé de Canterbury, mort noyé dans le détroit et dont le corps fut retrouvé sur la plage d’Ambleteuse en 608 : les travaux de construction s’achevèrent en 1857 sur le site de la source, ou fontaine Saint Pierre.

La première guerre mondiale

Pendant la guerre 1914-1918, Ambleteuse joua un rôle important. En 1914-1915, un contingent de soldats belges fut accueilli à Ambleteuse et Audresselles. En 1916, le littoral fut utilisé comme base arrière pour les troupes. Entre Ambleteuse et Audresselles, s’installent des camps anglais, portugais et même chinois.

L’état-major portugais s’installa dans un logement de quatre chambres, dans l’hôtel Delpierre ; c’est à cette époque que fut construit un escalier extérieur en bois, appelé « escalier des Portugais ». Les troupes portugaises vinrent cantonner à Ambleteuse. Le président portugais Bernardino Machado visita le camp d’Ambleteuse en octobre 1917. Un monument de la Croix Rouge portugaise, érigé en 1919, rappelle le séjour des troupes portugaises. Une grande croix lusitanienne est érigée en 1930 dans le cimetière d’Ambleteuse, qui abrita 350 soldats portugais.

 

La seconde guerre mondiale

Si le second conflit mondial épargna le village, la basse ville souffrit beaucoup. De nombreuses villas furent détruites, soit par les bombardements aériens, soit par les Allemands qui les occupaient et les avaient englobées dans le « mur de l’Atlantique ». Le fort fut réarmé par l’occupant ; la digue, crevée, fut pratiquement démolie.

Ambleteuse fut libérée le 29 septembre 1944 par les troupes canadiennes.

A la sortie nord d’Ambleteuse, un musée de la seconde guerre mondiale présente des armes, uniformes, photographies et documents de cette période.

 

Monuments historiques

Deux bâtiments d’Ambleteuse figurent à l’inventaire des monuments historiques :

En outre, sept bâtiments sont inventoriés au patrimoine culturel depuis le 15 décembre 2000 :

L’Inventaire général du patrimoine culturel, anciennement appelé Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France et désigné couramment comme Inventaire général ou même simplement inventaire, est un service national créé par décret du 4 mars 1964 à l’initiative d’André Malraux et d’André Chastel.

L’Inventaire général a pour mission de « recenser, étudier et faire connaître les éléments du patrimoine qui présentent un intérêt culturel, historique ou scientifique ».

Piloté par la direction générale des Patrimoines au ministère de la Culture, il est depuis 2005 mis en œuvre par les régions à la suite de la décentralisation.

Autres monuments et lieux

  • La baie de la Slack et sa flore aux essences rares ;
  • la plage et les dunes ;
  • la source miraculeuse de Saint Pierre et la chapelle Saint-Pierre ;
  • les restes de la forteresse anglaise ;
  • les villas de la Belle Époque ;
  • l’église Saint-Michel, reconstruite au XIXe siècle, dépendant de la paroisse Notre-Dame-des-Flots ;
  • les jardins de la communauté de l’Arche ;
  • le musée de la Seconde Guerre mondiale ;
  • le monument aux morts : il commémore plusieurs guerres : les deux guerres mondiale de 1914-18 et 1939-45 ainsi que celles d’Indochine (1946-1954) et d’Algérie (1954-1962). C’est une stèle sans élément religieux. L’originalité du monument tient à l’association, sur une face, d’une branche de laurier qui symbolise l’immortalité acquise par la victoire, d’une ancre (des Ambleteusois ont servi dans la marine) et d’un drapeau. Sur la face opposée, un sabre remplace l’ancre. Inauguré en 1920, il est situé rue du maréchal Foch.
  • le monument aux morts commémoratif de la Croix-Rouge portugaise, en hommage aux soldats portugais morts durant la Première Guerre mondiale à Ambleteuse. Il est situé près du terrain de football.

Patrimoine culturel

  • Sorti en 2016, le film de Bruno Dumont, Ma Loute, se déroule dans la baie de la Slack.
  • Le roman Les dunes d’Ambleteuse, de Philippe Comar (2004, Ed. Arléa), se déroule en partie dans la localité.

Personnalités liées à la commune

  • Jules César, fit construire dans l’estuaire de la Slack le premier port pour l’expédition en Grande-Bretagne.
  • Saint Pierre de Cantorbéry (VIIe siècle), abbé bénédictin, mort au large d’Ambleteuse.
  • Henri II (1519-1559), roi de France, libérateur d’Ambleteuse.
  • Louis XIV (1638-1715), roi de France, fit construire le fort.
  • Jacques II (1633-1701), roi d’Angleterre, débuta son exil en France en accostant à Ambleteuse en 1689.
  • Napoléon Bonaparte (1769-1821), fit construire dans l’estuaire de la Slack le second port en vue de l’expédition en Grande-Bretagne.
  • Paul Perrochaud (1816-1879), médecin français, né à Ambleteuse, initiateur des cures marines pour le traitement de diverses affections, dont la tuberculose.
  • Louis Bonnier (1846-1946), architecte.
  • Paul Destombes (1850-1919), architecte.
  • Théo van Rysselberghe (1862-1926), peintre belge, y a fait plusieurs séjours entre 1899 et 1905 et y a peint quelques paysages maritimes dans le style pointilliste.
  • André Caille (1881-1940), général de brigade français mort pour la France le 25 mai 1940 sur le territoire de la commune.
  • Octave Parent (1882-1942), entomologiste, spécialiste des diptères, directeur de la station biologique d’Ambleteuse.
  • Maurice Boitel (1919-2007), peintre.

 

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